La Lecture Universelle est un cabinet de lecture virtuel ; il y est régulièrement - mais pas à périodicité fixe - publié sa propre production de textes inédits (essentiellement des traductions) disponibles à la lecture en ligne, gratuitement.
Cette publication est faite sous forme d'un opuscule, un feuilleton virtuel, dans un des sens du mot feuilleton à la fin du XVIIIe siècle – une modeste publication – intitulé : "rez-de-chaussée".
- Cabinet de lecture ? Un cabinet de lecture est un établissement où le public du XVIIIe et du XIXe siècle pouvait lire, moyennant une faible rétribution, les feuilles publiques et les ouvrages nouveaux et anciens. Selon les cabinets, selon les époques, on pouvait y rester quelques instants, quelques heures, toute la journée... On y pouvait faire son courrier, manger, boire, fumer... pour en savoir davantage vous pouvez consulter Wikipedia.
- La Lecture Universelle ? Vers la fin de 1870 Georges de Graet (1841-1921) fonda une société commerciale pour l'exploitation de cabinets de lecture, dénommée "Salon littéraire national", qui fut renommée par la suite "La Lecture Universelle". Source : Wikipedia et gw.geneaet.org
- Rez-de-chaussée ? A partir du milieu des années 1790, des journaux publient des suppléments indépendants, les feuilletons, ajoutés au corps du journal. Au début des années 1800 le feuilleton se retrouve dans le corps du journal lui-même, pour en constituer la partie inférieure de la page (le rez-de-chaussée), séparée du texte au-dessus par un trait horizontal. A ces débuts, ce feuilleton était consacré essentiellement aux programmes de théâtres, annonces et avis divers. Pour en savoir davantage vous pouvez consulter l'article De Supplément Indépendant à un Rez-de-Chaussée sous le Filet sur persee.fr